4 décembre 2012

17 juillet 2012 : Disneyland Park : What a wonderful day!

Si la journée d’hier était déjà riche en émotions, celle-ci sera encore plus nostalgique puisque dédié au premier parc Disney du monde et de l’univers, le bien nommé Disneyland Park qui ouvrit ses portes, concrétisant le rêve de Walt Disney, le 17 juillet 1955. Tiens, tiens, vous ne faites pas le rapprochement ? Mais si voyons, nous allons profiter de ce parc le jour-même de sa création…à 57 ans d’écart ! Happy BDay Disneyland Park ! cheers (Shame on me, je dois reconnaître que je n’avais pas fait le rapprochement entre la date d’ouverture et la date du jour –faut dire pour ma défense que j'étais totalement déphasée pendant tout le voyage niveau date et jour de la semaine- avant le milieu de la journée. Oui, vous pouvez me huer !) Résultat : beaucoup, beaucoup de fans présents sur le parc et donc un parc bondé sous une chaleur torride !

Lever à 6h après une très courte nuit. A 7h00, les 3 filles vont petit déjeuner : petit déjeuner de motel : toasts, muffins, donuts, céréales. Pas mal et juste ce qu’il faut pour débuter la journée du bon pied (sans Ricorée). On va chercher nos sacs, et Jona, et hop en route. On arrive devant les gates à 8h pile poil. Carole et moi sont d’abord de mission « Fast Pass Radiator Springs Racer » ; on file donc –en courant presque- vers le DCA et une fois rentré : oh malheur, oh terreur : la queue pour les FP de l’attraction va jusqu’au-delà (on n’est pas allée plus loin) de l’Hypérion Theatre (où se joue Aladdin). Soit une très très très très très très très très (je m’essouffle rabbit ) très très très très très longue file (au min. 1h sans garantie d’avoir des FP car on ne sait pas si les gens envoient comme nous une personne pour x tickets). C’est avec un immense regret qu’on abandonne, on n’a pas ce temps-là à « perdre ». On tentera le coût de la file normale le soir.

Plant du Super 8


Le coin de notre chambre (sur la gauche, cherchez Bertha Wink )


Quelques sucreries


Pour aller aux parcs


Schéma de la file pour les FP en bleu


On retourne chopper les autres pour passer cette fois les gates du Disneyland Park : émotions, émotions ; je me revois 3 ans auparavant découvrant le parc historique, celui où Walt a foulé les pavés et où avait son appartement au-dessus de la caserne de pompier au début de Main Street U.S.A. (avec, à l’étage, la fameuse lampe toujours allumée).

Photo vite faite en passant


" To all who come to this happy place – welcome. Disneyland is your land. Here age relives fond memories of the past and here youth may savor the challenge and promise of the future. Disneyland is dedicated to the ideals, dreams and the hard facts that have created America… with the hope that it will be a source of joy and inspiration to all the world." Walter E. Disney, July 17, 1955.

L’idée de Walt était de créer un parc où petits et grands pourraient s’amuser. Je crois que son souhait s’est réalisé voyant aujourd’hui la fanbase étendue et variée des parcs Disney à travers le monde. Si l’idée germa juste avant le début des 50’s, il fallut attendre de développer le projet et trouver el financement pour pouvoir débuter les travaux en août 1954. Moins d’un an après, le Disneyland Park ouvrait. Cérémonie d’ouverture : http://www.youtube.com/watch?v=JuzrZET-3Ew

A l’origine, le parc comportait les 5 lands bien connus : Main Street U.S.A. (en hommage de l’Amérique du début du 20è siècle), Fantasyland (pays des contes de fée), Adventureland (où la jungle et l’exotisme vit), Frontierland (les cowboys s’y rencontrent pour des duels) et Tomorrowland (l’endroit où les rêves du future prennent vie). A ceux-ci se sont ajoutés au fil du développement du parc : New Orleans Square (en hommage à la Nouvelle Orléans, une des dernières supervisions de Walt avant sa mort en 1966), Critter Country (et sa vie animalière des bois) et Mickey’s Toontown (là où les héros Disney vivent dans leur bicoque so cartoon).



Lorsqu’on pénètre dans Main Street, une haie de cast members nous souhaite la bienvenue avec de grosses mimines Mickey. Aaaaah, l’accueil à l’américaine ! I love you C’est tout guilleret (et Jona et Carole tout de même interloqués par la « petitesse » du château) qu’on se dirige (rapidement pour Carole et moi) vers Tomorrowland. On a échangé notre rôle de chercheuses de « Fast Pass Radiator Springs Racer » contre chercheuses de « Fast Pass Star Tours ». Car il faut faire cette attraction, divergente de sa version parisienne depuis le 3 juin 2011. Star Tours – The Adventure Continues propose 54 voyages différents en 3D.

Jona pose


Volda aussi :p


Et oui des chevaux sur Main Street






Avant de profiter de nos FP, hop, Finding Nemo Submarine Voyage. Cette attraction, Submarine Voyage, datait de 1959 et fut fermée pendant 9 ans avant de rouvrir sous son nom actuel en 2007. Comme son nom l’indique (tiens donc Rolling Eyes ), on embarque dans un sous-marin jaune (We all live in a yellow submarine) pour découvrir les fonds sous-marins en compagnie de Némo et tout sa bande. Des écrans donnent l’illusion de voir la vie poissonière (ça n’existe pas, je sais clown ) sous l’eau (under the sea ; ah non zut je me trompe de dessin-animé :p).









Autre attraction du land : Space Mountain. Cette version est plus soft, sans looping, mais aussi et surtout beaucoup moins casse-tête (littéralement). Ouverte en 1977 et rénovée en 2003, on embarque (après 5’ de queue) dans des wagons pour une aventure dans les confins de l’univers. Un chouette moment même si ce n’est pas du tout mon ride favori.












Petit tour par la boutique (aaaah les sacs Chewbacca –ils étaient cheeeers-), c’est déjà l’heure de notre FP pour Star Tours (file tout de même longue même avec FP :/). Notre billet est validé pour le voyage en Starspeeder vers une destination inconnue jusqu’à l’envol. Et là, wow ! J’étais tellement las de la vieille version parisienne (et avant américaine, of course) que je me réjouis de voir ce que ça donne en version 2.0 : c’est géant, on ne sait pas à quoi s’attendre, C3PO est génial en conducteur et la 3D ajoute du relief et de l’immersion ! j’en redemande ! Dommage, la file est longue (une prochaine fois ? Very Happy).

Star Wars fan Smile


Chewbacca girl monkey






On change de land : Critter Country, histoire d’aller chercher un FP pour Splash Mountain avant de passer à New Orleans Square pour l’obligatoire Pirates of the Caribbean pirat , avec trois beaux Jack à relooker lors du parcours (ainsi qu’un rideau Davy Jones plus vrai que nature et un « Dead men tell no tales » qui vous fout les poils !). Un petit tour dans New Orleans Square plus tard et on se retrouve à la Haunted Mansion, maison hantée à l’aspect extérieur irréprochable d’une grande demeure de plantations comme souhaité par Walt. L’histoire veut que 999 fantômes hantent cette demeure qui fut le lieu d’une triste histoire d’amour. Depuis 2004, pour la célébration du 50è anniversaire du parc, un 1000è fantôme est venu faire la fête avec les autres revenants, un simple « mortel » de Bâton Rouge (sans mauvais jeu de mots What a Face ) qui a gagné son nom gravé sur une urne suite à une enchère.













Haunted Mansion




Rivers of America


Splash Mountain est la prochaine attraction sur la liste ! Jona nous abandonne alors que nous nous engouffrons, dépassant tout le monde (oh joie) pour monter dans les bûches. « Zip a dee doh dah » de "Song of the South” résonne dans nos oreilles entre les scènes d’animatronics et les chutes qui mouillent. Ce log flume ride (rivière en tronc) est une des meilleurs du genre. Entraînante et rafraîchissante ! Un asiatique en quasi-costume (manquait plus que la cravate) grimpant après dans notre barque non-épargnée par l’eau sort son mouchoir et commencer à éponger frénétiquement le siège du tronc. Ah ah il m’a bien fait rire, si seulement il savait ce à quoi il va devoir faire face (la trempette de pantalon :p)…il a déjà l'air apeuré et la cast l’oblige à s’asseoir vu qu’il ralentit tout ! Drôle de scène ! cyclops







Une friandise au Pooh Corner s’impose. Carole prend la fameuse Tigger Tail (marshmallow enrobé de chocolat et de sucre = une bombe calorique qui fait monté le diabète en flèche) et je prends un Mickey Rice Krispies pour plus tard.









On change encore d’horizon avec Adventureland pour un FP pour Indy. Il fait vraiment chaud maintenant. Et le monde est mondeux (nouvelle expression pour désigner une affreuse foule danse). Soit. Il est l’heure du repas. J’avais prévu de prendre un lunch léger au Bengal Barbecue juste en face de l’attraction Indy. Il faudra ruser pour une choper une des peu nombreuses tables et qui plus est une à l’ombre (en tout cas à moitié) car sinon les chaises sont ultra-bouillantes et on cui-cuit sur place comme des poulets rôtis ! Je prend une (ben oui, ça se vend par une) brochette de poulet : Chieftain Chicken Skewer - In a Polynesian Sauce et une de bœuf : Bengal Beef Skewer - In a Sweet Zulu Sauce (3.99$ chaque) et deux chips (2.99$ chacun) ainsi qu’une grande boisson (3.49$). On a un mini repas pour pour Volda et moi. Ok, c’est pas mauvais mais on n’a rien dans les assiettes ni dans le ventre une fois tout avaler. bounce On râle un peu on s’attendait plus qu’à 3 pauvres morceaux de viande qui se battent en triel (un duel à 3 :p) et un bout de céleri malheureux qui les regarde se fighter jusqu’à ce que mort s’en suive (dans notre estomac). Déçu surtout quand après on voit les énormes plats de frites et corn dog ! 18.69$ pour 2.



On veut faire un ptit tour dans Fantasyland. On passe par le Sleeping Beauty Castle pour quelques photos de ce petit mais mimi château ainsi que la chouette fontaine de Blanche-Neige à l’arrière où on voit d’énormes libellules oranges ! Tant qu’on y est, hop, détour par le walkthrough dans le château qui narre avec quelques tableaux magiques l’histoire de la Belle au Bois Dormant. Sympa, surtout que je ne l’avais pas fait en 2009.



























Fin de la cérémonie pour le 57è anniversaire à l'heure pile de son ouverture en 1955 (ici: http://youtu.be/C8xsxq9wFE8) On n'a pas su la voir. De un je reconnais ne pas être trop au courant. De deux, on aurait du se placer super tôt et perdre bcp de temps dans le parc pour la voir vu le monde!


A la sortie, nous voici bloquer par un tintamarre de rue : fanfare et danseurs entourent les équipes de volleyball américaines pour les J.O. Chouette on a enfin vu des « stars » (dont on ne connait n’ein le nom ^^).

L'atelier du Chapelier Fou












Oh tiens il était pas loin :p


Merida


En passage, seconde fanfare, c’est la fête dis donc ! Direction Mickey’s Toontown où il y a des traffic jams (des bouchons Wink ) : il fait vraiment plein partout aujourd’hui ! On profite de ce land très toon que j’adore. En fait, le but de ce land est de reproduire la petite ville où habitent les toons Disney ; ainsi Mickey, Minnie et toute leur bande de proches amis y ont leur maison que l’on peut visiter. Particularité du land californien : d’autres joyeusetés telles une ruelle avec plein de boutons, d’effets et de photolocations ! On retourne en enfance et on touche à tout ! Bémol contre les sales gosses (ok le parc est pour les mioches aussi mais pas les mioches chiants) qui courent partout, vous marchent dessus et pourrissent vos photos (heureusement que de temps en temps les parents les rappellent à l’ordre et s’excusent ).
Par contre, impossible de visiter les maisons des maîtres des lieux, la file est immense, dommage car l’interaction y est de mise également (gâteau qui cuit au four, fauteuils et cie). Petit passage par la boutique pour s’acheter une montre (40$) –celle de 2009 a le bracelet pourrave Laughing -.





















bateau de Donald








Maison de Goofy






Exemple de tee-shirt


In the Tiki Tiki Tiki Room (http://youtu.be/trtJMX90Etw)…il est l’heure de chanter avec les n’oiseaux tropicaux ! A Adventureland, Walt Disney Enchanted Tiki Room est la première attraction avec audio-animatronics en 1963 et elle tenait particulièrement à cœur à Walt. Qui dit Tiki Room dit aussi un merveilleux Dole Whip Float (Dole, sponsor de l’attraction à un stand à l’entrée et dans la file –chose rare-), ce délicieux snack rafraîchissant à base de glace et de jus d’ananas qui me fait presque attendre l’orgasme gustatif ! Et le pied x1000 c’est de le déguster pendant le show ! Heureuse que je suis de retrouver cette délicatesse après sa découverte il y a 3 ans ! 5.38$ avec taxes







Après ce moment de joyeusetés chantées, on passe aux choses sérieuses avec notre FP pour Indiana Jones Adventure : Temple of the Forbidden Eye qui au final, comme pour Star Tours, ne nous fait pas tant couper la queue que ça ! On attendra une vingtaine de minutes malgré le FP. Pour faire patienter, il y a la file qui est super thématisée. Lorsqu’on embarque dans la jeep, on se retrouve dans une aventure de ce cher Indiana Jones (d’où le nom, cqfd What a Face ). Pas de coaster comme à paris ici mais un dark ride remuant (dark ride motion simulator) qui nous plonge corps et âmes (on a un massage gratuit des fesses ainsi) à la recherche de Jewel of Power en Asie !





Une friandise pour les deux loustics


Un bout de parade en sortant de l'Emporium






On se concerte : des files interminables partout, de la chaleur, des pieds fatigués : une pause s’impose ! On sort du parc pour un petit détour par le Downtown Disney avant de rentrer à l’hôtel. Passage obligé surtout dans le World of Disney pour faire le plein de souvenirs et de cadeaux. Avec Volda on achète chacune un sac mais aussi des boucles d’oreilles, un magnet… quelques achats en bon et due forme !



 
Les pieds fatigués par cette chaleur et le shopping, on se dirige doucement vers le Super 8 pour un repos bien mérité après le crapahutage des parcs pendant 3jours consécutifs (n’oubliez pas Universal juste avant). Carole et moi ne perdons pas de temps, en deux temps, trois mouvements (après une vérification que les grands basketteurs qui squattent le motel ne soient pas dans l’eau), on se retrouve dans la piscine bien fraîche et le jacuzzi hyper-chaud (il brûle presque). On parlera avec une petite fille tout mignonne de 4-5 que la maman avait laissée toute seule (avec une bouée mais bon) dans la piscine le temps d’aller faire des courses : honteux, on était choquées. On regardera après la petite qui était contente de se trouver des copines pendant un moment jusque ce que la maman revienne et qu’on la fasse traverser jusqu’à sa chambre. Vraiment, j’ai trouvé cela ultra irresponsable de laisser une gamine toute seule dans une piscine, toute seule tout court. On ne sait jamais ce qu’il peut se passer même près de la magie.





Avant de plouffer, on avait passé commande au chinois pour le souper. Pas question de manger sur le parc après la déception du midi et surtout qu’on n’a pas envie de mettre des milles et des cents. Pile poil lorsque le loempia livreur, clope au bec, sort de notre chambre, on arrive en gloussant dégoulinante. Le repas est servi ! Ce sera nouilles au poulet pour nous 4 avec un loempia en entrée pour 10$/personne avec tip. Un repas consistant et pas mauvais !



On se change (en maillot dans le parc, ça le ferait pas ^^) car pour Carole et moi une soirée dans les parcs nous attend. Volda et Jona ont décidé de se reposer pour la longue journée de demain (vers le grand Canyon). 20h15 on démarre. Direction le Disneyland Park et plus précisément New Orleans Square pour se placer pour Fantasmic. La première représentation a lieu à 21h (second show à 22h30) et même en arrivant 30’ avant, le monde déjà placé est impressionant. Surtout que vu la configuration du lac où se joue Fantasmic , les bonnes places sont peu nombreuses et le flux de gens s’agluttine où il peut hors des zones qui restent de passage (dans les parcs américains, les Cast Members conservent des lignes de passage lors des shows et parades : sympa pour circuler mais ça fait moins de places pour les spectateurs). Depuis le 13 mai 1992 (20ans !), Fantasmic émerveille depuis les Rivers of America le public de Disneyland à coup de badaboums, feu d’artifice et mises en scène gigantesques. Avant de voir le WOC, Fantasmic (ainsi que sa version floridienne beaucoup mieux gérée niveau flux puisque dans une arène) était mon spectacle préféré. Il reste très beau mais maintenant WOC a pris le dessus ! Qui plus est, c’est vraiment la galère pour bien voir (il faudrait se placer 1h30 à l’avance limite). Pendant l’attente (en essayant d’éviter les incrustes devant nous avec la complicité de nos voisines de devant), je mangerai mon délicieux Rice Krispie. Puis le show commence et hop, 22minutes d’émerveillement !







On essaye de s’extirper le plus rapidement possible de la foule mais c’est n’ein évident vu que tout le monde semble vouloir en faire de même. On se faufille et on arrive sur Main Street où a débuté le feu d’artifice Magical – Disney’s Nighttime Fireworks Spectacular. On se trouve une petite place assez loin dans Main Street pour regarder un bout de ce feu qui « fout les poils ». Juste alors que la fin est tirée, on quitte le parc pour éviter la foule à la sortie et pour se diriger vers le DCA.





Une fois devant Cars land, je suis tjs autant éblouie par la beauté réaliste du décor que l’on foule. Radiator Springs racer affiche une attente encore plus grande que la veille : 120’ file normale et 60’ file single rider…nos espoirs s’envolent. Aussi tard le soir, on n’a vraiment pas le courage de crapahuter dans une file aussi longtemps. Renh, dommage…mais ça me donne une bonne raison pour revenir ! On a plus de chance avec Matter’s Junkyard Jamboree, 10 petites minutes d’attente : on fonce ! Chouette attraction style Cars au WDS à paris avec un plus : les remorques où les guests s’asseyent bougent vraiment pas mal lors des tournants ! C’est fun !









On profite encore un peu du land et je me laisse tenter par ZE souvenir que tout le monde s’arrache et qui a fait sa réapparition quelques jours avant notre venue dans les boutiques après une rupture de stock du délire : le mug en forme de cône Cars avec boisson dedans. Je prends le petit avec du Fanta (9.69$ avec taxes). Il est vraiment cool ce gobelet, je suis bien contente d’avoir craqué ! Carole, elle, craque pour une peluche Martin.







Encore quelques clic-clacs dont une rencontre avec Flash McQueen en personne (personnages de Cars devant le Cozy Cone Motel presque tout le temps présent un à la fois) et puis on rentre à l’hôtel, des étoiles plein les yeux de ce séjour à Disney vers 23h45.

1 comments:

Mik a dit… Best Blogger Tips

Ah tellement de souvenirs ! Dire que j'étais en Floride il y a à peine plus d'un mois et ton TR me rend mélancolique des resorts Américains, rien que d'y aller ça donne envie d'y retourner ! Et je te rejoins totalement sur le Dole Whip, c'est une merveille parmi les merveilles, j'avais sautillé de joie en découvrant qu'ils les faisaient aussi en CA !
Par contre seulement 2 jours pour Disney ? Bon en même temps quel trip ! (j'ai juste survolé le reste, seulement lu Disney pour l'instant), et puis quel monde, quand j'y suis allé pour Thanksgiving on m'avait dit que c'était de la folie, mais finalement c'était très correct à côté. Hâte de lire la suite ;)